“ Le paradis se fait trouble dans les yeux (et les oreilles d'Esther Denis à l'Atelier Contraste ”, La Libre Belgique,
Elodie Weymeels, 24 janvier 2023
Dans le cadre du Photo Brussels Festival, vous pourrez aller au paradis, revisité par la plasticienne Esther Denis et quatre élèves de l’Atelier Contraste… Dans une installation étrange, esthétique, où rien ne manque… et son contraire.
(...)
“La jeune génération d’artistes en France”, La Libre Belgique, Guy Duplat, 2 février 2022
“L’étant et l’étang
Un regret :
Belge, Esther Denis, scénographe, sortie de La Cambre et ensuite diplômée en 2020 de l’Ensad à Paris. Elle était en 2021 à La Villette et avait séduit tout le monde par une installation fascinante et méditative intitulée L’Étant (avec un “t”), inspirée du philosophe français Clément Rosset : dans l’obscurité, on découvrait un étang noir, des narcisses, une vanité (un oiseau mort), un jeu de reflet, un diorama pensé comme une métaphore du paradis avec ses reflets fugaces sur l’eau dont la projection de danseuses en mouvement. Hélas, pour des rai- sons de complexité technique, elle n’est pas à Bozar.
Son exemple montre l’intérêt de ces expos pour des jeunes artistes. Aujourd’hui, elle est assistante à la mise en scène pour Frédérique Aït-Touati pour des spectacles autour de Bruno Latour et d’Emanuele Coccia, scénographe d’une prochaine création en collaboration avec Camille de To- ledo. Elle présentera un solo-show à la Sainte-Anne Gallery à Paris et L’Étant à Madrid.”
““L’étant”, l’installation de la jeune Bruxelloise Esther Denis, à La Villette à Paris”, RTBF Culture/Arts Plastiques,
Christine Pinchart, 11 juin 2021
“Esther Denis a grandi dans un univers artistique. A 8 ans, elle fait partie du Chœur d’enfants de la Monnaie et prend des cours de harpe. Après divers stages dans des théâtres, à 19 ans elle entre à La Cambre, et poursuit sa formation aux Arts Déco à Paris où elle est sélectionnée parmi plusieurs candidats venus du monde entier. Aujourd’hui sa première œuvre monumentale “L’étant”, est installée à La Villette dans le cadre de 100% L’EXPO.
Un étang noir, des fleurs, des ombres, des reflets, une métaphore du paradis, née d’une lecture de l’artiste. Le philosophe Clément Rosset a inspiré la jeune Esther, avec un subterfuge à l’insupportable, qui se nomme paradis !
Elle invite à une déambulation, à venir se ressourcer, à réinventer le quotidien, pour lui offrir le meilleur de ce que peut espérer un état d’esprit fusionnant avec le lâcher prise.”
Rencontre de 12 minutes avec David Courier sur BX1 / Le Cour(r)ier Recommandé,
27 mai 2021
“Esther Denis est l’invitée de David Courier dans #LCR. La plasticienne expose en ce moment “L’étant” à la Grande Halle de la Villette, à Paris. C’est à découvrir dans Le courrier recommandé ce jeudi.”
“Jeunes artistes : une difficile entrée dans la vie active”, Le Quotidien de l’Art, Léa Amoros, 27 avril 2021
“Tremplin pour la jeune création. Au fond de la Halle, une pièce plongée dans la pénombre est éclairée par un étang d’eau noire bordé de narcisses et de vanités. Au-dessus de l’installation immersive, un ingénieux système vidéo et des jeux d’optique projettent l’image d’une jeunesse insouciante sur la surface miroitante. Ce paradis inversé, pensé comme un diorama et baptisé L’étant, est imaginé par Esther Denis (diplômée de l’Ensad en 2020). « 100% est une fenêtre incroyable pour faire découvrir son travail. J’ai eu la chance d’avoir quelques relais médiatiques et été mise en contact, lors des rencontres professionnelles, avec des personnes qui souhaitent me suivre pour les prochaines années », raconte la jeune femme qui pense à activer prochainement L’étant dans un dispositif théâtral. « Les artistes font part d’un certain soulagement de voir quelque chose se concrétiser du point de vue professionnel. Beaucoup ont la sensation de piétiner, voire de faire marche arrière, alors que ce temps de sortie d’école est crucial pour leur future carrière », témoigne Inès Geofroy. Un avis que partage Emmanuel Tibloux, directeur de l’ENSAD venu encourager ses diplômés et pour qui « l’endroit le plus passionnant de l’art est sans aucun doute son émergence ».”
“Paroles de jeunes artistes”, Radio France, Anne Chépeau, 22 avril 2021
“Esther Denis, diplômée en scénographie en septembre dernier aurait pu être violemment confrontée à la crise avec la fermeture des théâtres et des opéras, mais elle a joué les prolongations à l’Ensad, l’École nationale supérieure des arts décoratifs, qui propose à ses jeunes diplômés une sixième année, finalement bienvenue en pleine crise sanitaire. “C’est une année post-diplôme qui nous permet d’avoir un accès aux ateliers de l’école, aux infrastructures, etc., indique-t-elle. Et donc, j’ai encore eu un espace pour pouvoir travailler.” Malgré le contexte, ces trois jeunes artistes se veulent résolument confiants pour l’avenir.”
“Quand j’étais chanteur”, Le journal du Medecin, Aristide Padigreaux, 15 avril 2021
“Avec la 5e édition de son événement 100% L’expo– Sortie d’écoles, La Villette offre un panorama fidèle et exigeant des meilleurs talents de la jeune création artistique française et internationale récemment diplômées, dont une Belge !
Cette année, elle invite de nouvelles écoles parisiennes et régionales pour mettre en lumière une génération émergente d’artistes aux pratiques variées: arts plastiques, performance, arts numériques, cinéma, architecture, stylisme, design, photographie...
Une édition qui se décline dedans, dehors et en ligne. Une version augmentée et enrichie qui permet, quel que soit le contexte sanitaire, de découvrir ce foisonnement créatif auquel participe notre compatriote Esther Denis: son installation, intitulée L’étant,a étéchoisie pour représenter l’École nationale des Arts Décoratifs de la rue d’Ulm à Paris. (...)”
“15 artistes à découvrir à 100 % l’EXPO à la Villette”, Manifesto 21, Anne-Charlotte Michaut, 6 avril 2021
“ Esther Denis est diplômée de la filière scénographie de l’EnsAD, et cela se ressent face à son incroyable installation intitulée L’étant, jouant de l’homonymie avec étang. Son œuvre, pensée comme une représentation du Paradis à travers des échos et reflets, prend bien la forme d’un étang circulaire. À la manière d’un diorama, l’artiste entoure le bassin central de narcisses et d’une vanité. Les jeux d’optique, faits d’ombres et de refléchissements, confèrent une dimension spectrale et envoûtante à l’œuvre, notamment avec la projection de silhouettes de danseuses ondoyant sur l’eau sombre. Seul un temps long d’appréhension permet de saisir la puissance de cette pièce immersive, aussi onirique que philosophique. À l’instar de la notion même de Paradis, rien n’est univoque ni immuable dans cette installation, qu’Esther Denis aimerait d’ailleurs activer en dispositif théâtral.”
“ À quoi rêvent les jeunes artistes?”, Ariane Bavelier, Le Figaro, 1er avril 2021
“ (...) L’autre, signée Esther Denis, est un éblouissement: une installation qui donne à voir l’envers du paradis «en ombre, reflet, écho», selon les principes du philosophe Clément Rosset, dans une petite nappe d’eau bordée de fleurs. Ces deux jeunes femmes sortent elles aussi de l’Ensad, qui se distingue dans la sélection de “ 100 % ” cette année: les œuvres des élèves vont au bout de leur propos. Nous sommes loin de l’esquisse. ”
Elodie Weymeels, 24 janvier 2023
Dans le cadre du Photo Brussels Festival, vous pourrez aller au paradis, revisité par la plasticienne Esther Denis et quatre élèves de l’Atelier Contraste… Dans une installation étrange, esthétique, où rien ne manque… et son contraire.
(...)
“La jeune génération d’artistes en France”, La Libre Belgique, Guy Duplat, 2 février 2022
“L’étant et l’étang
Un regret :
Belge, Esther Denis, scénographe, sortie de La Cambre et ensuite diplômée en 2020 de l’Ensad à Paris. Elle était en 2021 à La Villette et avait séduit tout le monde par une installation fascinante et méditative intitulée L’Étant (avec un “t”), inspirée du philosophe français Clément Rosset : dans l’obscurité, on découvrait un étang noir, des narcisses, une vanité (un oiseau mort), un jeu de reflet, un diorama pensé comme une métaphore du paradis avec ses reflets fugaces sur l’eau dont la projection de danseuses en mouvement. Hélas, pour des rai- sons de complexité technique, elle n’est pas à Bozar.
Son exemple montre l’intérêt de ces expos pour des jeunes artistes. Aujourd’hui, elle est assistante à la mise en scène pour Frédérique Aït-Touati pour des spectacles autour de Bruno Latour et d’Emanuele Coccia, scénographe d’une prochaine création en collaboration avec Camille de To- ledo. Elle présentera un solo-show à la Sainte-Anne Gallery à Paris et L’Étant à Madrid.”
““L’étant”, l’installation de la jeune Bruxelloise Esther Denis, à La Villette à Paris”, RTBF Culture/Arts Plastiques,
Christine Pinchart, 11 juin 2021
“Esther Denis a grandi dans un univers artistique. A 8 ans, elle fait partie du Chœur d’enfants de la Monnaie et prend des cours de harpe. Après divers stages dans des théâtres, à 19 ans elle entre à La Cambre, et poursuit sa formation aux Arts Déco à Paris où elle est sélectionnée parmi plusieurs candidats venus du monde entier. Aujourd’hui sa première œuvre monumentale “L’étant”, est installée à La Villette dans le cadre de 100% L’EXPO.
Un étang noir, des fleurs, des ombres, des reflets, une métaphore du paradis, née d’une lecture de l’artiste. Le philosophe Clément Rosset a inspiré la jeune Esther, avec un subterfuge à l’insupportable, qui se nomme paradis !
Elle invite à une déambulation, à venir se ressourcer, à réinventer le quotidien, pour lui offrir le meilleur de ce que peut espérer un état d’esprit fusionnant avec le lâcher prise.”
Rencontre de 12 minutes avec David Courier sur BX1 / Le Cour(r)ier Recommandé,
27 mai 2021
“Esther Denis est l’invitée de David Courier dans #LCR. La plasticienne expose en ce moment “L’étant” à la Grande Halle de la Villette, à Paris. C’est à découvrir dans Le courrier recommandé ce jeudi.”
“Jeunes artistes : une difficile entrée dans la vie active”, Le Quotidien de l’Art, Léa Amoros, 27 avril 2021
“Tremplin pour la jeune création. Au fond de la Halle, une pièce plongée dans la pénombre est éclairée par un étang d’eau noire bordé de narcisses et de vanités. Au-dessus de l’installation immersive, un ingénieux système vidéo et des jeux d’optique projettent l’image d’une jeunesse insouciante sur la surface miroitante. Ce paradis inversé, pensé comme un diorama et baptisé L’étant, est imaginé par Esther Denis (diplômée de l’Ensad en 2020). « 100% est une fenêtre incroyable pour faire découvrir son travail. J’ai eu la chance d’avoir quelques relais médiatiques et été mise en contact, lors des rencontres professionnelles, avec des personnes qui souhaitent me suivre pour les prochaines années », raconte la jeune femme qui pense à activer prochainement L’étant dans un dispositif théâtral. « Les artistes font part d’un certain soulagement de voir quelque chose se concrétiser du point de vue professionnel. Beaucoup ont la sensation de piétiner, voire de faire marche arrière, alors que ce temps de sortie d’école est crucial pour leur future carrière », témoigne Inès Geofroy. Un avis que partage Emmanuel Tibloux, directeur de l’ENSAD venu encourager ses diplômés et pour qui « l’endroit le plus passionnant de l’art est sans aucun doute son émergence ».”
“Paroles de jeunes artistes”, Radio France, Anne Chépeau, 22 avril 2021
“Esther Denis, diplômée en scénographie en septembre dernier aurait pu être violemment confrontée à la crise avec la fermeture des théâtres et des opéras, mais elle a joué les prolongations à l’Ensad, l’École nationale supérieure des arts décoratifs, qui propose à ses jeunes diplômés une sixième année, finalement bienvenue en pleine crise sanitaire. “C’est une année post-diplôme qui nous permet d’avoir un accès aux ateliers de l’école, aux infrastructures, etc., indique-t-elle. Et donc, j’ai encore eu un espace pour pouvoir travailler.” Malgré le contexte, ces trois jeunes artistes se veulent résolument confiants pour l’avenir.”
“Quand j’étais chanteur”, Le journal du Medecin, Aristide Padigreaux, 15 avril 2021
“Avec la 5e édition de son événement 100% L’expo– Sortie d’écoles, La Villette offre un panorama fidèle et exigeant des meilleurs talents de la jeune création artistique française et internationale récemment diplômées, dont une Belge !
Cette année, elle invite de nouvelles écoles parisiennes et régionales pour mettre en lumière une génération émergente d’artistes aux pratiques variées: arts plastiques, performance, arts numériques, cinéma, architecture, stylisme, design, photographie...
Une édition qui se décline dedans, dehors et en ligne. Une version augmentée et enrichie qui permet, quel que soit le contexte sanitaire, de découvrir ce foisonnement créatif auquel participe notre compatriote Esther Denis: son installation, intitulée L’étant,a étéchoisie pour représenter l’École nationale des Arts Décoratifs de la rue d’Ulm à Paris. (...)”
“15 artistes à découvrir à 100 % l’EXPO à la Villette”, Manifesto 21, Anne-Charlotte Michaut, 6 avril 2021
“ Esther Denis est diplômée de la filière scénographie de l’EnsAD, et cela se ressent face à son incroyable installation intitulée L’étant, jouant de l’homonymie avec étang. Son œuvre, pensée comme une représentation du Paradis à travers des échos et reflets, prend bien la forme d’un étang circulaire. À la manière d’un diorama, l’artiste entoure le bassin central de narcisses et d’une vanité. Les jeux d’optique, faits d’ombres et de refléchissements, confèrent une dimension spectrale et envoûtante à l’œuvre, notamment avec la projection de silhouettes de danseuses ondoyant sur l’eau sombre. Seul un temps long d’appréhension permet de saisir la puissance de cette pièce immersive, aussi onirique que philosophique. À l’instar de la notion même de Paradis, rien n’est univoque ni immuable dans cette installation, qu’Esther Denis aimerait d’ailleurs activer en dispositif théâtral.”
“ À quoi rêvent les jeunes artistes?”, Ariane Bavelier, Le Figaro, 1er avril 2021
“ (...) L’autre, signée Esther Denis, est un éblouissement: une installation qui donne à voir l’envers du paradis «en ombre, reflet, écho», selon les principes du philosophe Clément Rosset, dans une petite nappe d’eau bordée de fleurs. Ces deux jeunes femmes sortent elles aussi de l’Ensad, qui se distingue dans la sélection de “ 100 % ” cette année: les œuvres des élèves vont au bout de leur propos. Nous sommes loin de l’esquisse. ”